Santé, Covid-19 205 000 doses de vaccins perdues entre septembre et octobre


FILE PHOTO: Doses of the Chinese Sinopharm vaccine against the coronavirus disease (COVID-19) are seen at the Biblioteka kod Milutina restaurant in Kragujevac, Serbia, May 4, 2021. REUTERS/Marko Djurica/File Photo

Le Sénégal continue de perdre des doses de vaccins contre le Covid 19 a cause du faible nombre de personnes ayant pris le vaccin depuis le début de la campagne de vaccination, faisant perdre au pays plus de 200 000 doses entre septembre et octobre.
Au Sénégal, le taux du nombre de personnes vacciné est loin d’être important. Les deux millions ayant pris les doses de vaccins sont loin d’être atteints. Et depuis ne démarrage de la campagne de vaccination, les sénégalais ne se sont pas encore rendus en masse aux centres de vaccination pout de faire vacciner. Ce qui fait que le Sénégal ne cesse de perdre des dises au fin des mois. « En fin octobre, nous avions perdu 200.000 doses de vaccins contre la Covid-19, contre 5000 doses perdues en septembre. C’est sûr que d’ici décembre nous allons encore en perdre », a dit le coordonnateur national du PEV qui faisait une communication sur « Vaccins anti COVID-19 au Sénégal, mercredi sur le thème : bilan et perspectives ». Revenant sur le taux de vaccination, Dr Badiane a fait savoir que le Sénégal, a reçu 3.918868 vaccins, mais, selon lui, à la date du 15 novembre 2021, « seuls 50 % des doses ont été utilisés ». « Quelque 1308 266 personnes ont au moins reçu une dose et 908 961 personnes sont complétement vaccinées », a-t-il expliqué, précisant qu’ »actuellement le défi reste l’adhésion des populations à la vaccination et la gestion des vaccins’’. « La courbe de la vaccination varie entre les régions. Dakar représente 21 % des personnes complétement vaccinées, Diourbel 4%, Tambacounda 5 %, Sédhiou 4 % », a-t-il noté. Concernant l’amélioration du taux de vaccination au Sénégal, Dr Badiane a souligné que les districts sanitaires ont reçu des instructions pour élaborer des plans de relances en vue de « faire bouger les choses ». « Le rythme de la vaccination est lié au nombre de cas de Covid-19, actuellement ce qui peut faire évoluer la vaccination, c’est la contrainte ou une 4ème vague », a estimé le coordonnateur national du PEV.

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